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◆历代达赖喇嘛祕史(最恶心变态的邪教:藏传佛教) |
历代达赖喇嘛祕史
序 第五章 作者于本章节裡介绍第六世达赖喇嘛的生平。第六世达赖喇嘛名为仓央嘉措(Rigdzin Tsangyang Gyatso),1697年他十五时,来到了布达拉宫。很快地大家发现他只对女人感兴趣,而且还是写情诗的高手。作者说他「对修道的学习越来越抗拒。他唯一感兴趣的是时轮续裡的性仪式。他十四岁便开始与多位十岁的女孩共修时轮金刚灌顶;这些女孩一直到二十岁为止都被视为身上具有正面效果的能量。」作者引用了其他的西方着作来说明性交在藏传佛教裡所扮演的角色: 因此,透过这些谭崔灌顶仪式,性交成为一种时间及心灵的力量。这些传授给第六世达赖喇嘛的秘密修行方法持续不断地延续到了今日,可以在藏传佛教寺院裡实修时轮金刚最高阶段时看得到。的确,『時轮续第八至第十一级的灌顶阶段只需要与一位女人共修,可是一但到了第十二至十五级,则需要十位女人在师父身旁参与时轮续的仪式。学生甚至还有责任供养一些女人给他的上师,而欲受灌顶的在家人有责任把他们的母亲、姊妹、女儿或阿姨携带过去…而已受过献身给神仪式的僧侣或初学者则有权利使用各种社会阶级、没有亲戚关係的女人。在秘密仪式当中,参与者会亲自体验男性的精子与女性的经血(精子与月经)。(作者附注:Victor and Victoria Trimondi, Der Shatten des Dalai Lama, Patmos, 1999.)』」 1999年2月10日,美国报纸〈The Independent〉记者Paul Vallely 报导了另一桩性丑闻:身为西藏喇嘛的官方翻译员,苏格兰哲学家坎贝尔严正地声明,她确实曾经担任过卡卢仁波切的『谭崔性奴隶』;卡卢仁波切是全世界最受景仰的喇嘛 法文原文 第三章 第五章 «...se montre de plus en plus réticent aux études monastiques. Seuls les rites sexuels du Tantra de Kalachakra retiennent son attention. Commencées à l'âge de quatorze ans, ses premières initiations se sont faites avec des fillettes de dix ans: jusqu'à leurs vingt ans, elles sont considérées porteuses d'énergies positives. Victor et Victoria Trimondi expliquent dans Der schatten des Dalai-Lama, L'Ombre du dalaï-lama, que «dans le Vajrayana, la sexualité est l'événement sur lequel tout est basé.» «Le sexe est considéré ci; comme la prima materia, la substance primale brute qui est utilisée par les partenaires sexuels pour en extraire le pur esprit, de même que l'alcool fort peut être extrait des grappes de raisin. Pour cette raison, le maître tantrique est convaincu non seulement que la sexualité contient les secrets de l'humanité, mais qu'elle fournit aussi le moyen par lequel on peut atteindre la divinité. » Les Trimondi précisent en outre que « plus le sexe est hot, plus le rituel tantrique devient efficace. Dans le Candamaharosana Tantra par exemple, l'amant avale avec une avidité joyeuse le liquide qui suinte du vagin et de l'anus de l'amante et goûte sans nausée ses excréments, son mucus nasal et les restes de nourriture qu'elle a vomis sur le plancher. Le spectre complet des déviances sexuelles est présent, même si c'est sous la forme de rite .» «Par ces initiations tantriques, la sexualité se transforme donc en puissance temporelle et spirituelle. Des pratiques secrètes qui ont été délivrées au sixième dalaï-lama et qui se perpétuent de nos jours aux degrés les plus élevés de l'usage du Kalachakra dans les monastères du bouddhisme tibétain. Ainsi, «une seule femme participe aux étapes initiatiques 8 à 11 du Tantra du Kalachakra, mais dans les 12 à 15, dix femmes s'impliquent dans le rite aux côtés du maître. L'élève se doit même d'offrir des femmes à songourou, et les laïcs qui veulent être initiés d'amener leurs mères, sœurs, leur épouse, filles ou tantes... Les moines ayant reçu la consécration ou les novices ont le droit d'utiliser des femmes de diverses castes qui ne sont pas parentes. Dans s le rite secret lui-même, les participants font des expériences avec les semences masculines et féminines (sperme et menstruation) ». «Nous sommes en 1702 et Rigdzin Tsangyang Gyatso a tout juste dix-neuf ans. Son premier amour l'a quitté mais, depuis, le dalaï-lama multiplie les aventures avec les courtisanes et serveuses des tavernes.» «Le souverain repère immédiatement le régent Sangyé Gyatso, devenu, au fil des semaines et des mois, son compagnon de débauches nocturnes. Cette nuit encore sera longue et il n'est pas rare alors de voir le dalaï-lama interpréter une de ses pièce de théâtre ou de parodier les Trois Refuges que sont le Bouddha, le Dharma et la sangha, c'est-à-dire l'Enseignant, l'enseigné et la communauté, avec un texte que l’on attribue à Drukpa Kunley :» «Je prends refuge dans le pénis assagi du vieillard, desséché à la racine, 第九章 «Le Tantra du Kalachakra et, de façon plus générale, lebouddhisme tantrique portent la femme aux nues et la placent en grande estime. Comme dans beaucoup d'autres religions, elle est vénérée en tant que mère, en tant que sœur, mais aussi en tant qu’épouse, maîtresse et objet de désir. Le tibétologue Rolf Stein écrit en 1982 : «Que ce soit dans la religion ou dans le monde, c'est le sexe féminin qui est en tait l'important... Mieux que cela, on dit que les lamas excellents qui pratiquent la voie de l'union sexuelle doivent vénérer leur femme de gnose (vidya, la compagne rituelle) comme un instrument indispensable. Dans le bouddhisme, le vagin est en fait la porte de la réincarnation, l'accouplement une cérémonie qui permet l’accession au secret de l'univers. La relation sexuelle est fondamentalement ritualisée: chaque regard, chaque caresse, chaque forme de contact reçoit un sens symbolique. Les partenaires recherchent ensemble la voie vers quelque chose de supérieur à l'acte lui-même. L'acte sexuel leur contére un pouvoir, un savoir, que l'on n'obtient pas autrement.» «Un cas isolé ? Pas exactement puisque, depuis, de nombreuses affaires ont défrayé la chronique. Notamment l'une concernant la communauté américaine du bouddhisme et l'un de ses maîtres les plus en vue, Osel Tenzin. Reconnu pour apprécier les pratiques du Traité de Choephel, et pour son appétit sexuel, le lama avait fini par contracter le Sida dans les années 1980. À la même époque, un lama réincarné surnommé la sagesse folle par ses pairs et ses disciples, était connu pour son alcoolisme et ses excentricités sexuelles et financières. Par ailleurs, un article de Jack Kornfeld dans le Yoga Journal révèle, sous le titre de Sex and Lives of the Gurus que, sur cinquante maîtres bouddhistes, hindous et Jaïns, trente-quatre ont eu des rapports sexuels avec leurs disciples. En 1994, un autre lama se voit accusé, lui, d'avoir, sur unepériode de plusieurs années, abusé de son statut des réincarnation et de guide spirituel pour imposer des relations sexuelles à des jeunes femmes disciples. De médiation en médiation, le guru tibétain aurait versé plusieurs millions de dollars à ses victimes... Le 10 février 1999, le journal américain The Independent annonce un autre scandale sexuel sous la plume de Paul Vallely: la philosophe écossaise June Campbell, traductrice officielle des lamas tibétains, affirme en effet avoir été «l'esclave sexuelle tantrique» de Kalou Rinpoché, un des lamas tibétains les plus vénérés au monde. On s'en doute, l'affaire fait grand bruit : «C'était, dit-elle, comme si j'avais accusé Sœur Teresa d'avoir joué dans des films porno. » Menacée de mort, l'Écossaise a attendu onze ans avant de parler de cette histoire. Ses accusations furent vivement démenties par les proches de celui qu elle dénonce. Une autre fois, c est à Samye Ling Centre, en Écosse, que le scandale éclate. Dans un article du Sunday du 10 septembre 2000, Robert Mendick raconte qu'un moine adulte de Samye Ling a abusé d'une jeune fille de quatorze ans. Or Samye Ling est un lieu considéré comme le poumon de la culture tibétaine en Occident, où l’on accueille les artistes amis du dalaï-lama, tels Richard Gere ou David Bowie. Le 10 juin 2009, j'ai demandé au dalaï-lama de bien vouloir répondre à quelques questions, notamment sur le fait que, depuis un certain temps, des articles de presse et des livres évoquent les dérapages de lamas de renom, accusés d'agressions sexuelles et de viols ou encore d'avoir des « esclaves sexuuelles tantriques». Une vingtaine de jours plus tard, le 4 juillet, Sa Sainteté le quatorzième dalaï-lama Tenzin Gyatso répondra, par l'intermédiaire de son secrétaire Chhime R. Chhoekyapa : |
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