The Truth of Tibetan Buddhism

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Sexual scandals of Lamas and Rinpoches

über die Dalai Lamas

Before Buddhism was brought to Tibet, the Tibetans had their believes in "Bon". "Bon" is a kind of folk beliefs which gives offerings to ghosts and gods and receives their blessing. It belongs to local folk beliefs.

In the Chinese Tang Dynasty, the Tibetan King Songtsän Gampo brought “Buddhism” to the Tibetan people which became the state religion. The so-called “Buddhism” is Tantric Buddhism which spreads out during the final period of Indian Buddhism. The Tantric Buddhism is also named "left hand tantra" because of its tantric sexual practices. In order to suit Tibetan manners and customs, the tantric Buddhism was mixed with "Bon". Due to its beliefs of ghosts and sexual practices, it became more excessive.

The tantric Master Atiśa spread out the tantric sex teachings in private. Padmasambhava taught it in public, so that the Tibetan Buddhism stands not only apart from Buddhist teachings, but also from Buddhist form. Thus, the Tibetan Buddhism does not belong to Buddhism, and has to be renamed "Lamaism".

   
                  LA GRANDE IMPOSTURE

 Depuis plus de 360 ans, il n’a jamais été vraiment certain qu’un des occupants du Potala, y compris l’actuel Dalaï-lama, ait été un vrai Dalaï-lama, c’est à dire une véritable incarnation de Gendun Droub.
Western Shugden Society

Ce n’est pas la première fois qu’un livre fait état des anomalies et des dérives du bouddhisme tibétain. Mais le public occidental ignore généralement les accusations formulées par des bouddhistes tibétains eux-mêmes, parmi lesquels figurent des lamas érudits.

La Western Shugden Society, qui compte dans ses rangs d’éminents bouddhistes, a édité « Une Grande Imposture », c’est un réquisitoire contre l’absolutisme du Dalaï-lama, son intolérance religieuse, ses ambitions politiques, ses contradictions... Le texte comprend une étude historique de première importance.

Le Dalaï-lama, chef de file emblématique d’un nouveau spiritualisme scientifico-newageux, est-il un guide religieux fiable ? Des Tibétains répondent négativement. Ils sont convaincus que le quatorzième Dalaï-lama est le représentant d’une subversion religieuse qui, au 17ème siècle, a fait de l’institution des Dalaï-lamas, telle que nous la connaissons actuellement, une dictature. L’assassinat d’un grand lama, du nom de Ngatrul Dragpa, opposé à l’union de la religion et de la politique, scella le complot et la prise du pouvoir politique par le cinquième Dalaï-lama. (Quelques temps avant le dictature du « Grand Cinquième », le Père Antonio d’Andrade fut reçu au Tibet en 1624 et y séjournera plusieurs années, suivi d’autres jésuites portugais, les pères Cabral et Cacella. Les représentants de l’ordre jésuite, la milice politique et religieuse fondée par Ignace de Loyola (1), a-t-elle joué un rôle dans l’altération de l’institution des Dalaï-lamas par Lobsang Gyatso (1617-1682), le « Grand Cinquième » qui mélangeait politique et religion pour satisfaire sa soif de pouvoir ? « Une Grande Imposture » ne traite pas de la présence des jésuites au Tibet au moment où le système fondé pour pérenniser la pureté de l’enseignement de Tsongkhapa est noyauté. Mais cette coïncidence interpellera les personnes qui s’informent sur les sociétés politico-religieuses et leur plan de domination mondiale.)

Les réseaux alternatifs d’information révèlent l’existence d’une offensive générale contre les libertés orchestrée par l’oligarchie de l’empire anglo-américain. Malheureusement, les médias alternatifs diffusent trop de litanies déprimantes concernant la déroute démocratique en Occident. Ces médias font rarement allusion au combat spirituel ou bien, quand ils le subodorent, leurs analyses se référent à l’Apocalypse, ce texte est incompréhensible sans les véritables clés de décryptage. Dans « Une Grande Imposture » la dimension subtile est souvent en filigrane. On découvre le rôle néfaste des entités communiquant par l’intermédiaire de l’oracle de Néchung. Cet oracle a une grande influence sur la politique du Dalaï-lama. Aussi nous apprend-on, Dordjé Shougdèn, le protecteur abhorré par le 14ème Dalaï-lama, est un protecteur d’un bouddhisme pur qui empêche que la religion bouddhiste ne soit utilisée à des fins politiques.

Depuis Dharamsala, l’autocrate tibétain en exil est à la tête d’une structure internationale constituée d’une myriade de centres voués à la pratique du néo-bouddhisme. Ce bouddhisme frelaté est utilisé pour soutenir des opérations de déstabilisation de la Chine conduites par la CIA au nom de l’indépendance du Tibet ou de la persécution du Falun Gong (2). Plusieurs plans de la CIA ont échoué en Asie grâce à la vigilance des Chinois. La Central Intelligence Agency a effectivement recruté le Dalaï-lama. Un religieux Guélougpa, respectueux de ses vœux monastiques, peut-il accepter de travailler pour une organisation criminelle comme la CIA ? Les auteurs du livre, « Une Grande Imposture », écrivent : « Depuis plus de 360 ans, il n’a jamais été vraiment certain qu’un des occupants du Potala, y compris l’actuel Dalaï-lama, ait été un vrai Dalaï-lama, c’est à dire une véritable incarnation de Gendun Droub ».

Le Dalaï-lama accuse Dordjé Shougdèn de nuire à sa politique. Il le combat par tous les moyens. Avant lui, le cinquième Dalaï-lama ordonna à ses meilleurs magiciens de le détruire par le feu en recourant aux pratiques rituelles. Ce fut un échec. L’actuel Dalaï-lama ne parvient pas plus que son prédécesseur à anéantir le coriace et subtil adversaire. Cela attise sa colère contre les fidèles de Dordjé Shougdèn qui sont victimes d’une impitoyable persécution religieuse. Depuis 1996, de nombreux temples de Shougdèn furent fermés, des autels détruits, des maisons de pratiquants brûlées, des centaines de moines expulsés de leurs monastères…

Reportage à revoir :
http://www.france24.com/fr/20080808-inde-tibetain-dalai-lama-bouddhistes-de

« Une Grande imposture » met en exergue une des plus grandes mystifications de l’époque moderne. Cette incroyable imposture spirituelle a bénéficié du soutien de plusieurs organisations, de la CIA à la fondation Rockefeller (3) en passant par le comité d’attribution du prix Nobel.

Extrait :

Les incitations au meurtre

« En août 1996, un groupe se faisant appeler « La Société secrète des éliminateurs des ennemis extérieurs et intérieurs du Tibet, proféra publiquement des menaces de mort contre les deux jeunes réincarnations de maîtres tibétains hautement réalisés :

« Quiconque va à l’encontre de la politique du gouvernement doit être ciblé, arrêté, et condamné à mort […] Quant aux réincarnations de Trijang [le propre guide spirituel du Dalaï-lama] et de Zong Rinpoché [un autre grand maître spirituel tibétain de la tradition guéloug], si elles ne cessent pas de pratiquer Dolgyal (Dordjé Shougdèn) et continuent de contredire les paroles de Sa Sainteté le Dalaï-lama, non seulement nous ne serons pas en mesure de les respecter, mais leur vie et leurs activités subiront la destruction. C’est notre premier avertissement. »

Suite à cela, ces deux jeunes lamas réincarnés furent obligés de se cacher.

Dans un entretien avec le Dalaï-lama figurant dans le numéro de novembre 1997 du magazine américain « Mother Jones », Robert Thurman demanda au Dalaï-lama :

« La perte de votre nation aux mains de la Chine fut utilisée comme un exemple de la futilité de la non-violence et de la tolérance. Quand une chose mérite-t-elle d’être défendue ? »

Le Dalaï-lama répondit :

« […] si la situation était telle qu’il ne reste qu’un seul lama expérimenté ou qu’un seul pratiquant authentique en vie, et que la mort de cette personne fasse perdre à l’ensemble du Tibet tout espoir de conserver son mode de vie bouddhiste, il est concevable, que dans le but de protéger cette personne, il soit justifié d’éliminer de un à dix ennemis, s’il n’existe aucun autre moyen. »

En février 1998, suite aux paroles « éliminer de un à dix ennemis » prononcées par le Dalaï-lama et croyant, à tort, que les pratiquants de Shougdèn travaillent pour les autorités chinoises, des affiches portant les noms des « 10 ennemis jurés du Dalaï-lama et du Tibet » furent distribuées dans les colonies tibétaines en Inde et au Népal. Ces affiches préparées par la branche recherche et analyse du Ministère de la sécurité du gouvernement tibétain en exil, présentaient la photo et des informations biographiques concernant chacun de ces dix personnes et encourageaient la population tibétaine à tuer ces dix pratiquants innocents de Dordjé Shougdèn. Depuis la première publication, cette liste a été distribuée aux communautés tibétaines partout dans le monde. »

Le livre « Une Grande Imposture » est publié par la Western Shugden Society (WSS)
www.westernshugdensociety.org

Pour se procurer le livre :

http://bouddhanar-1.blogspot.com/2010/01/kalachakra-initiation-ou-contre.htm

(1) Eric Phelps est l’auteur d’un ouvrage au vitriol intitulé « Vatican assassins », ouvrage historique extrêmement bien documenté qui montre au lecteur où se situent le vrai pouvoir et le contrôle de cette planète.
http://www.vaticanassassins.org/

(2) Le Falun Gong arme de la CIA contre le « Grand dragon rouge »
http://www.voltairenet.org/article157853.html


(3) En 1960, la Fondation Rockefeller implante huit centres d'études tibétaines aux USA et invite 17 lamas tibétains.


Die Dalai Lamas

»Die Dalai Lamas werden von ihren Anhängern als fortgeschrittene Mahayana Bodhisattvas angesehen, mitfühlende Wesen, die sozusagen ihren eigenen Eintritt in das Nirvana zurückgestellt haben, um der leidenden Menschheit zu helfen. Sie sind demnach auf einem guten Wege zur Buddhaschaft, sie entwickeln Perfektion in ihrer Weisheit und ihrem Mitgefühl zum Wohle aller Wesen. Dies rechtertigt, in Form einer Doktrin, die soziopolitische Mitwirkung der Dalai Lamas, als Ausdruck des mitfühlenden Wunsches eines Bodhisattvas, anderen zu helfen.«

?Hier sollten wir zwei Dinge feststellen, die der Dalai Lama nicht ist: Erstens, er ist nicht in einem einfachen Sinne ein ?Gott-König?. Er mag eine Art König sein, aber er ist kein Gott für den Buddhismus. Zweitens, ist der Dalai Lama nicht das ?Oberhaupt des Tibetischen Buddhismus? als Ganzes. Es gibt zahlreiche Traditionen im Buddhismus. Manche haben ein Oberhaupt benannt, andere nicht. Auch innerhalb Tibets gibt es mehrere Traditionen. Das Oberhaupt der Geluk Tradition ist der Abt des Ganden Klosters, als Nachfolger von Tsong kha pa, dem Begründer der Geluk Tradition im vierzehnten/fünfzehnten Jahrhundert.«

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
Clarke, P. B., Encyclopedia of New Religious Movements
(New York: Routledge, 2006), S. 136.

Regierungsverantwortung
der Dalai Lamas

?Nur wenige der 14 Dalai Lamas regierten Tibet und wenn, dann meist nur für einige wenige Jahre.?

(Brauen 2005:6)

»In der Realität dürften insgesamt kaum mehr als fünfundvierzig Jahre der uneingeschränkten Regierungsgewalt der Dalai Lamas zusammenkommen. Die Dalai Lamas sechs und neun bis zwölf regierten gar nicht, die letzten vier, weil keiner von ihnen das regierungsfähige Alter erreichte. Der siebte Dalai Lama regierte uneingeschränkt nur drei Jahre und der achte überhaupt nur widerwillig und auch das phasenweise nicht allein. Lediglich der fünfte und der dreizehnte Dalai Lama können eine nennenswerte Regieruagsbeteiligung oder Alleinregierung vorweisen. Zwischen 1750 und 1950 gab es nur achtunddreißig Jahre, in denen kein Regent regierte!«

Jan-Ulrich Sobisch,
Lamakratie - Das Scheitern einer Regierungsform (PDF), S. 182,
Universität Hamburg

Der Fünfte Dalai Lama,
Ngawang Lobsang Gyatso

Der Fünfte Dalai Lama, Ngawang Lobsang Gyatso

?Der fünfte Dalai Lama, der in der tibetischen Geschichte einfach ?Der Gro?e Fünfte? genannt wird, ist bekannt als der Führer, dem es 1642 gelang, Tibet nach einem grausamen Bürgerkrieg zu vereinigen. Die ?ra des fünften Dalai Lama (in etwa von seiner Einsetzung als Herrscher von Tibet bis zum Beginn des 18. Jahrhunderts, als seiner Regierung die Kontrolle über das Land zu entgleiten begann) gilt als pr?gender Zeitabschnitt bei der Herausbildung einer nationalen tibetischen Identit?t - eine Identit?t, die sich im Wesentlichen auf den Dalai Lama, den Potala-Palast der Dalai Lamas und die heiligen Tempel von Lhasa stützt. In dieser Zeit wandelte sich der Dalai Lama von einer Reinkarnation unter vielen, wie sie mit den verschiedenen buddhistischen Schulen assoziiert waren, zum wichtigsten Beschützer seines Landes. So bemerkte 1646 ein Schriftsteller, dass dank der guten Werke des fünften Dalai Lama ganz Tibet jetzt ?unter dem wohlwollenden Schutz eines wei?en Sonnenschirms zentriert? sei; und 1698 konstatierte ein anderer Schriftsteller, die Regierung des Dalai Lama diene dem Wohl Tibets ganz so wie ein Bodhisattva - der heilige Held des Mahayana Buddhismus - dem Wohl der gesamten Menschheit diene.?

Kurtis R. Schaeffer, »Der Fünfte Dalai Lama Ngawang Lobsang Gyatso«, in
DIE DALAI LAMAS: Tibets Reinkarnation des Bodhisattva Avalokite?vara,
ARNOLDSCHE Art Publishers,
Martin Brauen (Hrsg.), 2005, S. 65

Der Fünfte Dalai Lama:
Beurteilungen seiner Herrschaft I

?Gem?? der meisten Quellen war der [5.] Dalai Lama nach den Ma?st?ben seiner Zeit ein recht toleranter und gütiger Herrscher.?

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
(Clarke, 2006, S. 136)

?Rückblickend erscheint Lobsang Gyatso, der ?Gro?e Fünfte?, dem Betrachter als überragende, allerdings auch als widersprüchliche Gestalt.?

Karl-Heinz Golzio / Pietro Bandini,
»Die vierzehn Wiedergeburten des Dalai Lama«,
O.W. Barth Verlag, 1997, S. 118

»Einmal an der Macht, zeigte er den anderen Schulen gegenüber beträchtliche Großzügigkeit. […] Ngawang Lobsang Gyatso wird von den Tibetern der ›Große Fünfte‹ genannt, und ohne jeden Zweifel war er ein ungewöhnlich kluger, willensstarker und doch gleichzeitig großmütiger Herrscher.«

Per Kvaerne, »Aufstieg und Untergang einer klösterlichen Tradition«, in:
Berchert, Heinz; Gombrich, Richard (Hrsg.):
»Der Buddhismus. Geschichte und Gegenwart«,
München 2000, S. 320

Der Fünfte Dalai Lama:
Beurteilungen seiner Herrschaft II

?Viele Tibeter gedenken insbesondere des V. Dalai Lama bis heute mit tiefer Ehrfurcht, die nicht allein religi?s, sondern mehr noch patriotisch begründet ist: Durch gro?es diplomatisches Geschick, allerdings auch durch nicht immer skrupul?sen Einsatz machtpolitischer und selbst milit?rischer Mittel gelang es Ngawang Lobzang Gyatso, dem ?Gro?en Fünften?, Tibet nach Jahrhunderten des Niedergangs wieder zu einen und in den Rang einer bedeutenden Regionalmacht zurückzuführen. Als erster Dalai Lama wurde er auch zum weltlichen Herrscher Tibets proklamiert. Unter seiner ?gide errang der Gelugpa-Orden endgültig die Vorherrschaft über die rivalisierenden lamaistischen Schulen, die teilweise durch blutigen Bürgerkrieg und inquisitorische Verfolgung unterworfen oder au?er Landes getrieben wurden.

Jedoch kehrte der Dalai Lama in seiner zweiten Lebenshälfte, nach Festigung seiner Macht und des tibetischen Staates, zu einer Politik der Mäßigung und Toleranz zurück, die seinem Charakter eher entsprach als die drastischen Maßnahmen, durch die er zur Herrschaft gelangte. Denn Ngawang Lobzang Gyatso war nicht nur ein Machtpolitiker und überragender Staatsmann, sondern ebenso ein spiritueller Meister mit ausgeprägter Neigung zu tantrischer Magie und lebhaftem Interesse auch an den Lehren andere lamaistischer Orden. Zeitlebens empfing er, wie die meisten seiner Vorgänger, gebieterische Gesichte, die er gegen Ende seines Lebens in seinen ›Geheimen Visionen‹ niederlegte.«

(Golzio, Bandini 1997: 95)

Der Dreizehnte Dalai Lama,
Thubten Gyatso

Der Dreizehnte Dalai Lama, Thubten Gyatso

?Ein anderer, besonders wichtiger Dalai Lama war der Dreizehnte (1876-1933). Als starker Herrscher versuchte er, im Allgemeinen ohne Erfolg, Tibet zu modernisieren. ?Der gro?e Dreizehnte? nutzte den Vorteil des schwindenden Einflusses China im 1911 beginnenden Kollaps dessen Monarchie, um faktisch der vollst?ndigen nationalen Unabh?ngigkeit Tibets von China Geltung zu verschaffen. Ein Fakt, den die Tibeter von jeher als Tatsache erachtet haben.?

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
(Clarke, 2006, S. 137)

?Manche m?gen sich vielleicht fragen, wie die Herrschaft des Dalai Lama im Vergleich mit europ?ischen oder amerikanischen Regierungschefs einzusch?tzen ist. Doch ein solcher Vergleich w?re nicht gerecht, es sei denn, man geht mehrere hundert Jahre in der europ?ischen Geschichte zurück, als Europa sich in demselben Zustand feudaler Herrschaft befand, wie es in Tibet heutzutage der Fall ist. Ganz sicher w?ren die Tibeter nicht glücklich, wenn sie auf dieselbe Art regiert würden wie die Menschen in England; und man kann wahrscheinlich zu Recht behaupten, dass sie im Gro?en und Ganzen glücklicher sind als die V?lker Europas oder Amerikas unter ihren Regierungen. Mit der Zeit werden gro?e Ver?nderungen kommen; aber wenn sie nicht langsam vonstatten gehen und die Menschen nicht bereit sind, sich anzupassen, dann werden sie gro?e Unzufriedenheit verursachen. Unterdessen l?uft die allgemeine Verwaltung Tibets in geordneteren Bahnen als die Verwaltung Chinas; der tibetische Lebensstandard ist h?her als der chinesische oder indische; und der Status der Frauen ist in Tibet besser als in beiden genannten L?ndern.?

Sir Charles Bell, »Der Große Dreizehnte:
Das unbekannte Leben des XIII. Dalai Lama von Tibet«,
Bastei Lübbe, 2005, S. 546

Der Dreizehnte Dalai Lama:
Beurteilungen seiner Herrschaft

?War der Dalai Lama im Gro?en und Ganzen ein guter Herrscher? Dies k?nnen wir mit Sicherheit bejahen, auf der geistlichen ebenso wie auf der weltlichen Seite. Was erstere betrifft, so hatte er die komplizierte Struktur des tibetischen Buddhismus schon als kleiner Junge mit ungeheurem Eifer studiert und eine au?ergew?hnliche Gelehrsamkeit erreicht. Er verlangte eine strengere Befolgung der m?nchischen Regeln, veranlasste die M?nche, ihren Studien weiter nachzugehen, bek?mpfte die Gier, Faulheit und Korruption unter ihnen und verminderte ihren Einfluss auf die Politik. So weit wie m?glich kümmerte er sich um die zahllosen religi?sen Bauwerke. In summa ist ganz sicher festzuhalten, dass er die Spiritualit?t des tibetischen Buddhismus vergr??ert hat.

Auf der weltlichen Seite stärkte er Recht und Gesetz, trat in engere Verbindung mit dem Volk, führte humanere Grundsätze in Verwaltung und Justiz ein und, wie oben bereits gesagt, verringerte die klösterliche Vorherrschaft in weltlichen Angelegenheiten. In der Hoffnung, damit einer chinesischen Invasion vorbeugen zu können, baute er gegen den Widerstand der Klöster eine Armee auf; vor seiner Herrschaft gab es praktisch keine Armee. In Anbetracht der sehr angespannten tibetischen Staatsfinanzen, des intensiven Widerstands der Klöster und anderer Schwierigkeiten hätte er kaum weiter gehen können, als er es tat.

Im Verlauf seiner Regierung beendete der Dalai Lama die chinesische Vorherrschaft in dem großen Teil Tibets, den er beherrschte, indem er chinesische Soldaten und Beamte daraus verbannte. Dieser Teil Tibets wurde zu einem vollkommen unabhängigen Königreich und blieb dies auch während der letzten 20 Jahre seines Lebens.«

Sir Charles Bell in (Bell 2005: 546-47)

Der Vierzehnte Dalai Lama,
Tenzin Gyatso

Der Vierzehnte Dalai Lama, Tenzin Gyatso

?Der jetzige vierzehnte Dalai Lama (Tenzin Gyatso) wurde 1935 geboren. Die Chinesen besetzten Tibet in den frühen 1950er Jahren, der Dalai Lama verlie? Tibet 1959. Er lebt jetzt als Flüchtling in Dharamsala, Nordindien, wo er der Tibetischen Regierung im Exil vorsteht. Als gelehrte und charismatische Pers?nlichkeit, hat er aktiv die Unabh?ngigkeit seines Landes von China vertreten. Durch seine h?ufigen Reisen, Belehrungen und Bücher macht er den Buddhismus bekannt, engagiert sich für den Weltfrieden sowie für die Erforschung von Buddhismus und Wissenschaft. Als Anwalt einer ?universellen Verantwortung und eines guten Herzens?, erhielt er den Nobelpreis im Jahre 1989.?

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
(Clarke, 2006, S. 137)

Moralische Legitimation
der Herrschaft Geistlicher

Für Sobisch ist die moralische Legitimation der Herrschaft Geistlicher ?außerordentlich zweifelhaft?. Er konstatiert:

?Es zeigte sich auch in Tibet, da? moralische Integrit?t nicht automatisch mit der Zugeh?rigkeit zu einer Gruppe von Menschen erlangt wird, sondern allein auf pers?nlichen Entscheidungen basiert. Vielleicht sind es ?hnliche überlegungen gewesen, die den derzeitigen, vierzehnten Dalai Lama dazu bewogen haben, mehrmals unmi?verst?ndlich zu erkl?ren, da? er bei einer Rückkehr in ein freies Tibet kein politische Amt mehr übernehmen werde. Dies ist, so meine ich, keine schlechte Nachricht. Denn dieser Dalai Lama hat bewiesen, da? man auch ohne ein international anerkanntes politisches Amt inne zu haben durch ein glaubhaft an ethischen Grunds?tzen ausgerichtetes beharrliches Wirken einen enormen Einfluss in der Welt ausüben kann.?

Jan-Ulrich Sobisch,
Lamakratie - Das Scheitern einer Regierungsform (PDF), S. 190,
Universität Hamburg