The Truth of Tibetan Buddhism

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Sexual scandals of Lamas and Rinpoches

über die Dalai Lamas

Before Buddhism was brought to Tibet, the Tibetans had their believes in "Bon". "Bon" is a kind of folk beliefs which gives offerings to ghosts and gods and receives their blessing. It belongs to local folk beliefs.

In the Chinese Tang Dynasty, the Tibetan King Songtsän Gampo brought “Buddhism” to the Tibetan people which became the state religion. The so-called “Buddhism” is Tantric Buddhism which spreads out during the final period of Indian Buddhism. The Tantric Buddhism is also named "left hand tantra" because of its tantric sexual practices. In order to suit Tibetan manners and customs, the tantric Buddhism was mixed with "Bon". Due to its beliefs of ghosts and sexual practices, it became more excessive.

The tantric Master Atiśa spread out the tantric sex teachings in private. Padmasambhava taught it in public, so that the Tibetan Buddhism stands not only apart from Buddhist teachings, but also from Buddhist form. Thus, the Tibetan Buddhism does not belong to Buddhism, and has to be renamed "Lamaism".

   
                  La pratique du tantra Yoga

  A quoi ressemble la pratique du tantra yoga? Il est aussi très étrange et inimaginable, parce que vous n’avez jamais pensé qu’il puisse exister réellement. Le lamaïsme fait passer une sorte d’initiation tantrique avant de vous livrer ce nectar. Pour y participer il existe une sorte d’initiation secrète, que les lamaïstes ne transmettent pas si facilement ou n'accorde qu'à peu de gens.

 
Les gens qui veulent s’initier à cette pratique secrète doivent d'abord offrir beaucoup d’argent au gourou. Une fois que le gourou est satisfait, il va initier le candidat à cette pratique tantrique secrète. Il y a beaucoup de gens qui apprennent le lamaïsme tibétain pendant de nombreuses années et qui n'ont jamais entendu parler de cette initiation. Je tiens quand même à montrer leur méthode, je pense qu’on doit savoir la vérité.
 
Avant de commencer l'initiation secrète, vous devez offrir de nombreux objets de valeur et de l'argent à votre gourou. En d'autres termes, l'offrande alimentaire n'est pas suffisante. D'ailleurs, la chose la plus importante est d'offrir des bijoux, de l'argent, et aussi de pratiquer la méditation avec l'image de votre gourou dans votre tête. Par conséquent, la méditation se fait quotidiennement pendant deux ou trois heures durant lesquelles vous ne pensez qu'à votre gourou, imaginant que son corps est assis au-dessus de votre tête et vous apportant un pouvoir de protection. Mais c'est une pure illusion qui n'a rien à voir avec le véritable niveau du gourou). Ensuite, il vous faut prendre pour refuge votre gourou, c'est-à-dire que quoi que vous fassiez, vous devez penser que votre gourou est au-dessus de vous et qu'il vous protège, ce qui par conséquent vous amènera à lui remettre votre confiance. Une fois que vous pouvez visualiser le gourou avec succès, vous êtes déjà convaincu que votre gourou est un Bouddha vivant et vous avez en lui une confiance totale.
 
A cause de cette confiance vous allez lui offrir beaucoup de choses, comme de la nourriture, des boissons, de l'argent, des divertissements et d'autres cadeaux précieux mais malsains. Et vous lui offrirez toutes ces choses pour obtenir sa satisfaction. Une fois le gourou heureux et satisfait, il vous enseignera cette initiation secrète. Cependant, cette pratique secrète suit encore plusieurs étapes différentes.
 
Dans un premier temps et ce, avant le commencement de la cérémonie d'initiation secrète, se tient une cérémonie ouverte qui comprend des rituels visant à réunir et à faire participer tout le monde ensemble. Les rituels doivent obéir à la théorie tantrique. Cependant beaucoup de personnes ayant participé à ces réunions ignorent encore, dans leur inconscience, que les graines de la pratique du tantra (l'initiation secrète) ont déjà germé en eux et qui, en réalisant cette initiation, se figurent, satisfaits, qu'ils ont réalisé un véritable progrès dans la pratique du bouddhisme.
 
Après la cérémonie, les élèves doivent suivre l’enseignement de la méditation de leur gourou, et doivent de nouveau apporter toutes sortes d'offrandes, pour satisfaire leur gourou et que par la suite ce dernier puisse enseigner à ces apprentis l'initiation secrète. L'initiation est très secrète. Elle comprend des rituels secrets. Par ailleurs le gourou donnera du nectar à manger. Cette initiation se présente sous deux aspects: « le père tantra » et « la mère tantra ». L’initiation avec le gourou mâle est appelé « père tantra ». L’initiation avec la gourou femelle se nomme « la mère tantra ». Si l'initiation est réalisée avec les deux ensemble (le père et la mère tantra), on l’appelle « non-dual tantra » (tantra de la non dualité).
 
Cette initiation secrète, connue aussi sous le nom de « non-dualité », est vraiment étonnante, car dans le vrai bouddhisme en effet, on utilise souvent le terme « non-duel » (cela veut dire que le véritable « Moi » et ce monde réel ne sont pas duels). Mais la réalité n'est pas si merveilleuse qu'elle paraît, parce que ces gens vous prennent pour des imbéciles dès lors que vous acceptez de participer à cette réunion secrète. Le lieu de cette initiation, bien-sûr, a besoin d'être choisi à l'écart des populations, en dehors des lieux bruyants, dans un site que personne ne peut trouver facilement. Avant de commencer, les participants doivent d'abord se couvrir les yeux avec une serviette. Le gourou vous emmène ensuite au lieu de cette initiation secrète. A l'intérieur de cet espace, on doit inévitablement faire des gestes de la main (en sanskrit: mudra, en tibétain : phyag-rgya), sonner les cloches de Bumpas vijra et tourner les moulins à prières dorjes, de sorte que les gens de l’extérieur croient que les personnes qui sont à l'intérieur sont en train de faire une cérémonie.
Après que le rituel a été effectué, l’initiation commence alors progressivement. Les détails contenus dans l'initiation secrète ne sont pas décrits ici, car il serait gênant pour vous de les entendre. A la fin de la cérémonie, le gourou homme donne du nectar aux disciples de sexe féminin. Dans ce cas les nectar(s) concernés sont les sécrétions de la partie inférieure du corps du gourou. Le gourou connaît le sens de l'initiation secrète. Par conséquent, pendant ce processus de la cérémonie, il doit avoir une érection. S'il n’y parvient pas et n'obtient donc pas de sécrétions, il lui faut penser au corps et à l'organe sexuel d'une belle femme et à au plaisir de la pratique sexuelle. Le gourou dépose ensuite ses sécrétions sur la langue de ses disciples. C'est là le secret du nectar. Pour le gourou des femmes, ses sécrétions constituent aussi le nectar. Je dois vous dire que leur nectar repose sur la tromperie et le mensonge, et qu'une telle religion n'est rien moins qu'une secte. C’est ainsi qu’est le nectar du culte.
 
Dans le lamaïsme tibétain, faire une offrande à son maître constitue la base de l'étude. Il existe plusieurs manières d'offrir, mais la meilleure est de présenter un bel homme (appelé Daka) ou une belle femme (aussi appelée la femme Vidyarāja ou Tara). En général, les hommes doivent étudier avec une maîtresse (un gourou de sexe féminin). Les femmes doivent étudier avec un maître. C’est le secret pour le lamaïste qui veut atteindre le niveau du Bouddha en une seule vie. Cela se nomme de bien des manières: le yoga suprême, l’anuttara tantra yoga, Kārmamudrā, Hevajra, Hérouka, le père tantra, la mère tantra, non- dual tantra, l'illumination tantrique, le samadhi tantrique, etc. Dans plusieurs écoles lamaïstes, on peut rencontrer des termes différents pour le désigner, mais en réalité, il s'agit d'une seule et même méthode de pratique.
 
Si vous êtes une femme et que vous ayez envie d’étudier avec un professeur, alors vous devez trouver pour l’offrande une belle jeune femme destinée à être la femme Vidyaraja, parfois aussi appelée la mère du Bouddha ou Tara. La sélection d’une Tara est très stricte, car la fille doit être jeune, avoir de belles dents blanches avec des lèvres rouges, un joli corps et une haleine fraîche. Après avoir choisi la jeune fille selon les critères exigés, vous pouvez commencer l'initiation secrète, et cette jeune fille et le gourou peuvent entrer dans le mandala (lieu de cérémonie). Ils vont alors tous deux pratiquer l'anuttara tantra yoga (kama sutra) . A l'extérieur, d'autres entendent des sons merveilleux et une fois la cérémonie terminée, le gourou doit récupérer les secrétions grâce à un « outil » très spécifique. Puis le gourou quitte le mandala, avec la récompense accordée à ses disciples, à savoir ses sécrétions. Il récompense également ceux qui sont à l'extérieur ainsi que ses disciples, par quelques gestes de sa main (mudra) et une parole de bénédiction (mantra).
Pour les disciples d'un gourou de sexe féminin, bien-sûr, vous devez choisir un homme d'apparence jeune et qui possède assez de force pour être Daka ; pour le reste de la cérémonie il se passe plus ou moins la même chose.
 
Leur théorie qui vise à atteindre le niveau de Bouddha en une vie, si nous la comprenons bien, elle ne nous dupera plus aussi facilement. Le lamaïsme dit souvent: « Notre dharma ne vient pas du Bouddha Sakyamuni, mais il vient du Bouddha Vajradhara (c’est un autre Bouddha selon les lamaïstes qui naquit après le Bouddha Sakyamuni et qui enseignait le tantra) ; le tantra est la seule méthode et c'est la plus rapide pour atteindre le niveau du Bouddha, et cela n'existe pas dans les autres écoles du Mahayana." Pour convaincre leurs fidèles, ils disent que le Bouddha Sakyamuni était une autre forme du Bouddha Vajradhara. Cette déclaration n'est pas crédible, parce que l'enseignement du Bouddha Sakyamuni est le chemin de la libération et le chemin de la véritable intelligence, et que ce sont là les deux chemins du dharma pour briser l'ignorance, pour se libérer du monde du désir, du monde de la forme et aussi du monde sans forme. Le chemin tantrique n'a rien à voir avec la libération des trois mondes (des trois dimensions). Ils se disent capables de pouvoir atteindre le niveau du Bouddha en utilisant l'avarice comme chemin. En outre, le Bouddha Sakyamuni a clairement indiqué que le désir et l'avidité sont les racines de l'ignorance et que c'est également la cause du cycle de la mort dans ce monde du désir. Comment le Bouddha Sakyamuni pourrait-il se réincarner comme le Bouddha Vajradhara, et ensuite enseigner aux personnes de rester dans le cycle de la mort dans le monde du désir? Cela n'a pas de sens et est contradictoire en soi. Ceux qui disent que Vajradhara et Sakyamuni sont les mêmes, et ce qu'ils affirment est totalement faux et n'est pas du tout cohérent.
 
A vrai dire, la connaissance et l'enseignement du lamaïsme tibétain contiennent 60% ou 70% d'erreurs et la pratique du tantra est une théorie complètement erronée. Toutefois, les adeptes de cette théorie fixent des conditions pour les personnes qui veulent pratiquer le tantra : ils doivent pratiquer le yoga jusqu'à ce que leur énergie remonte vers les chakras supérieurs, puis pénétrer au point Tilaka (point de lumière). Lorsque votre énergie peut monter et descendre à l'intérieur de votre corps sans aucune difficulté, alors seulement vous avez atteint ce niveau, et vous pouvez commencer à pratiquer le tantra. Si vous avez un tel niveau vous pouvez être le « vajra gourou » et vous pouvez organiser une cérémonie tantrique avec vos disciples. Selon la théorie tantrique du lamaïsme, vous êtes en mesure, avec ce type d'initiation, d'atteindre le niveau de Bouddha. Mais cela est une aberration absolue.
 
A quoi ressemble la personne qui a atteint ce niveau de Yoga ? Au début des années 2000 dans les news de la TV à Taiwan, on présentait en direct un yogi hindou à la TV. Le yogi était nu devant des étudiants pour prouver qu'il n'y avait aucune supercherie durant ces exercices de yoga. Dans l'hindouisme, un yogi nu est très sacré. C’est pourquoi pour ces étudiants, voir le yogi nu ne leur faisait éprouver aucune honte.
Dans une tasse remplie d'un liquide dont la couleur ressemblait à celle de l'huile, ce yogi avait mis son pénis et avait commencé à se concentrer. Très vite alors son pénis avait aspiré le liquide, qui avait disparu comme s’il était absorbé par le corps du yogi. Ceci prouvait que son énergie était capable de se mouvoir librement et sans difficulté comme un véritable « vajra gourou ».
Les gourous tibétains qui souhaitent organiser cette cérémonie secrète doivent avoir au Moins le niveau de ce Yogi hindou, c'est-à-dire être capables de récupérer leurs propres spermatozoïdes par leur pénis afin de ne pas féconder une femme. C’est la condition nécessaire, et si cette condition n'est pas remplie, ce sera le chaos total. Si les maîtres tibétains en effet n’ont pas ce niveau, ils pourront utiliser comme prétexte d’être un enseignant du Tantra, et abuser ce faisant des belles disciples ou de leurs familles, alors qu’ils n’ont pas acquis la condition nécessaire.
 
Selon la théorie lamaïste, la pratique secrète tantrique est aussi appelée « la méthode pour atteindre le niveau de Bouddha dans une seule vie ». La base de leur théorie est semblable à la théorie du dharma bouddhiste. Mais attention: si leurs enseignements et leurs théories semblent très similaires au bouddhisme, en réalité ces sont deux choses très différentes.
 
Selon la théorie bouddhiste, les soutras qui parlent de l'intelligence réelle (prajna en sanskrit) disent que la forme (le corps physique) et la vacuité (le vide ici signifie « changement permanent de notre cœur qui n'est pas du tout durable », en sanskrit: Tathagatagarbha) ne sont pas duels. La raison en est que la forme (notre corps) est créée grâce aux manifestations (Karma) de notre cœur Tathagatagarbha, et que c’est le cœur Tathagatagarbha qui est appelé également la huitième conscience (Alayavijnana) ou le véritable Moi.
 
Le karma qui lie notre corps avec nos parents utilise quatre types d'éléments (eau, terre, feu, air) et de nourritures, formant ainsi notre corps physique, qui est une personne. Donc nous ne pouvons pas dire que le corps et le cœur sont deux choses différentes. La forme et La manifestation du Tathagatagarbha ne sont pas duels car ils sont dépendants.
 
Dans le lamaïsme il existe presque la même théorie du « non duel ». Ses adeptes disent que la fonction du vide et du plaisir sexuel n'est pas duelle. Leur théorie repose sur l’anuttara trantra yoga (qui parfois s’appelle Kārmamudrā). En d'autres termes, selon le lamaïsme on peut atteindre le niveau du Bouddha avec ce corps physique. Cette méthode est utilisée pour être pratiquée dans une cérémonie, pendant un acte sexuel duel ( de l'homme avec la femme).
Ce plaisir est inné. On le dit aussi « bonheur primitif » (« en sanskrit : sama-utpatti ou sahaja »). Et si vous lisez un soutra tantrique ou un texte lamaïste, et que vous voyiez le terme «bonheur congénital » ou « bonheur inné », ne vous laissez pas berner par ces termes, car c’est uniquement le bonheur obtenu pendant la relation sexuelle. Les gens qui pratiquent cette méthode sont bien liés au monde du désir. Le lamaïste pense qu’avec l'utilisation de cette méthode et de ces techniques tantriques, ce bonheur ne peut pas durer. Mais eux le font durer le plus longtemps possible, jusqu'à ce qu’il atteigne tout le corps, et accède selon le lamaïste à l’illumination correcte (en sanscrit : Samyak-Sambouddha). Il a alors atteint le niveau du Bouddha, autrement dit, la personne elle-même est devenue le Bouddha.
 
Le lamaïsme utilise le terme Bouddhiste, mais son sens n'a rien à voir avec le bouddhisme. C’est totalement différent. L'explication bouddhiste sur l’illumination correcte est la suivante : la personne illuminée comprend tous les fonctionnements de ce monde et le sens de toutes choses à n’importe quel moment. Si une personne peut vraiment voir et comprendre, cette personne a atteint l’illumination. La théorie d’anuttara tantra yoga de l’école tantrique le dit de la façon suivante:
 
Dans le processus de l’acte sexuel, le plaisir doit persister le plus longtemps possible : l'esprit de cette personne n’a pas de pensées. A ce moment là, la conscience de cette personne est la conscience réelle du Bouddha. Cette conscience n'est pas une pensée, c’est une conscience qui permet d’observer le plaisir durant l’acte sexuel et elle n'est pas une forme ni une substance. Cette conscience est complètement vide et « creuse », selon la théorie lamaïste. Elle est appelée Sunyata. De même, si vous regardez toutes les phénomènes de ce monde, il n’y a pas une chose qui soit durable. Le corps finit par se briser, toutes les choses se terminent un jour, car elles sont impermanentes. La conscience qui est observée au cours de l’acte sexuel, est réelle,. On la nomme Sunyata, c'est-à-dire cœur vide, car elle n’a pas de pensée, qu'elle est vraiment vide. Cette prise de conscience, c’est la sagesse Prajna, c’est l'illumination, et la sagesse Prajna est la démonstration du vide. La personne qui comprend le prajna a atteint le niveau du Bouddha avec son corps physique. C’est la théorie du yoga tantrique, qui est rien à voir avec l’enseignement du Bouddha.
 
A partir de cette théorie, les lamaïstes ont mis en place une sorte de pratique. Ils affirment que les sécrétions obtenues après cet acte, sont les meilleurs éléments pour avancer dans le chemin de la pratique, parce que les sécrétions du gourou et/ou de la "Tara" ont reçu la bénédiction. Ces secrétions sont aussi appelées « Nectar » dans le lamaïsme. Si les disciples ont mangé ce nectar (qui sont les biens de son maître et de la femme Tara), leur niveau de pratique va sûrement avancer très rapidement. Juste après la cérémonie sexuelle, le gourou les distribue à ses disciples pour qu’ils s’en nourrissent. Pour le lamaïsme, ce « Nectar » a une grande qualité pour la pratique. Ce n'est pas une perte, car le gourou doit les offrir à ses disciples. Et les restes du « Nectar », le gourou doit les récupérer, après avoir joui de la cérémonie sexuelle. Bien sûr, le gourou doit les récupérer parce que ces sont des éléments importants pour aider le corps physique à se maintenir en bonne santé. Ils sont également d’une grande aide sur le chemin de la pratique. Le gourou utilise l’exercice du yoga pour absorber de nouveau les secrétions dans son corps (comme le Yogi à la télévision). C'est un recyclage comme nous le faisons avec les déchets. En fait, ce qui est récupéré, ce sont encore des ordures, car cet élément n’aide pas du tout à la pratique. La théorie lamaïste trompe beaucoup des gens qui passent de nombreuses années à pratiquer le yoga lamaïste et perdent beaucoup de temps, puisque les résultats qu'ils obtiennent sont totalement étrangers au bon chemin et n’ont aucun rapport avec le bouddhisme.
 
Par conséquent, nous comprenons que le gourou lamaïste doit avoir un niveau de Yoga assez avancé pour récupérer ses propres sécrétions. C’est une condition préalable pour pratiquer le tantra yoga. Dans le cas contraire il ne peut pas pratiquer l'initiation secrète. Cette méthode porte plusieurs noms: « L'essence du vajrayana, la claire lumière de félicité, Hevajra, Nikita Karma et Anuttara Yoga » ; et bien-sûr le nectar est cette sécrétion qui est obtenue après la cérémonie sexuelle.

Die Dalai Lamas

»Die Dalai Lamas werden von ihren Anhängern als fortgeschrittene Mahayana Bodhisattvas angesehen, mitfühlende Wesen, die sozusagen ihren eigenen Eintritt in das Nirvana zurückgestellt haben, um der leidenden Menschheit zu helfen. Sie sind demnach auf einem guten Wege zur Buddhaschaft, sie entwickeln Perfektion in ihrer Weisheit und ihrem Mitgefühl zum Wohle aller Wesen. Dies rechtertigt, in Form einer Doktrin, die soziopolitische Mitwirkung der Dalai Lamas, als Ausdruck des mitfühlenden Wunsches eines Bodhisattvas, anderen zu helfen.«

?Hier sollten wir zwei Dinge feststellen, die der Dalai Lama nicht ist: Erstens, er ist nicht in einem einfachen Sinne ein ?Gott-König?. Er mag eine Art König sein, aber er ist kein Gott für den Buddhismus. Zweitens, ist der Dalai Lama nicht das ?Oberhaupt des Tibetischen Buddhismus? als Ganzes. Es gibt zahlreiche Traditionen im Buddhismus. Manche haben ein Oberhaupt benannt, andere nicht. Auch innerhalb Tibets gibt es mehrere Traditionen. Das Oberhaupt der Geluk Tradition ist der Abt des Ganden Klosters, als Nachfolger von Tsong kha pa, dem Begründer der Geluk Tradition im vierzehnten/fünfzehnten Jahrhundert.«

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
Clarke, P. B., Encyclopedia of New Religious Movements
(New York: Routledge, 2006), S. 136.

Regierungsverantwortung
der Dalai Lamas

?Nur wenige der 14 Dalai Lamas regierten Tibet und wenn, dann meist nur für einige wenige Jahre.?

(Brauen 2005:6)

»In der Realität dürften insgesamt kaum mehr als fünfundvierzig Jahre der uneingeschränkten Regierungsgewalt der Dalai Lamas zusammenkommen. Die Dalai Lamas sechs und neun bis zwölf regierten gar nicht, die letzten vier, weil keiner von ihnen das regierungsfähige Alter erreichte. Der siebte Dalai Lama regierte uneingeschränkt nur drei Jahre und der achte überhaupt nur widerwillig und auch das phasenweise nicht allein. Lediglich der fünfte und der dreizehnte Dalai Lama können eine nennenswerte Regieruagsbeteiligung oder Alleinregierung vorweisen. Zwischen 1750 und 1950 gab es nur achtunddreißig Jahre, in denen kein Regent regierte!«

Jan-Ulrich Sobisch,
Lamakratie - Das Scheitern einer Regierungsform (PDF), S. 182,
Universität Hamburg

Der Fünfte Dalai Lama,
Ngawang Lobsang Gyatso

Der Fünfte Dalai Lama, Ngawang Lobsang Gyatso

?Der fünfte Dalai Lama, der in der tibetischen Geschichte einfach ?Der Gro?e Fünfte? genannt wird, ist bekannt als der Führer, dem es 1642 gelang, Tibet nach einem grausamen Bürgerkrieg zu vereinigen. Die ?ra des fünften Dalai Lama (in etwa von seiner Einsetzung als Herrscher von Tibet bis zum Beginn des 18. Jahrhunderts, als seiner Regierung die Kontrolle über das Land zu entgleiten begann) gilt als pr?gender Zeitabschnitt bei der Herausbildung einer nationalen tibetischen Identit?t - eine Identit?t, die sich im Wesentlichen auf den Dalai Lama, den Potala-Palast der Dalai Lamas und die heiligen Tempel von Lhasa stützt. In dieser Zeit wandelte sich der Dalai Lama von einer Reinkarnation unter vielen, wie sie mit den verschiedenen buddhistischen Schulen assoziiert waren, zum wichtigsten Beschützer seines Landes. So bemerkte 1646 ein Schriftsteller, dass dank der guten Werke des fünften Dalai Lama ganz Tibet jetzt ?unter dem wohlwollenden Schutz eines wei?en Sonnenschirms zentriert? sei; und 1698 konstatierte ein anderer Schriftsteller, die Regierung des Dalai Lama diene dem Wohl Tibets ganz so wie ein Bodhisattva - der heilige Held des Mahayana Buddhismus - dem Wohl der gesamten Menschheit diene.?

Kurtis R. Schaeffer, »Der Fünfte Dalai Lama Ngawang Lobsang Gyatso«, in
DIE DALAI LAMAS: Tibets Reinkarnation des Bodhisattva Avalokite?vara,
ARNOLDSCHE Art Publishers,
Martin Brauen (Hrsg.), 2005, S. 65

Der Fünfte Dalai Lama:
Beurteilungen seiner Herrschaft I

?Gem?? der meisten Quellen war der [5.] Dalai Lama nach den Ma?st?ben seiner Zeit ein recht toleranter und gütiger Herrscher.?

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
(Clarke, 2006, S. 136)

?Rückblickend erscheint Lobsang Gyatso, der ?Gro?e Fünfte?, dem Betrachter als überragende, allerdings auch als widersprüchliche Gestalt.?

Karl-Heinz Golzio / Pietro Bandini,
»Die vierzehn Wiedergeburten des Dalai Lama«,
O.W. Barth Verlag, 1997, S. 118

»Einmal an der Macht, zeigte er den anderen Schulen gegenüber beträchtliche Großzügigkeit. […] Ngawang Lobsang Gyatso wird von den Tibetern der ›Große Fünfte‹ genannt, und ohne jeden Zweifel war er ein ungewöhnlich kluger, willensstarker und doch gleichzeitig großmütiger Herrscher.«

Per Kvaerne, »Aufstieg und Untergang einer klösterlichen Tradition«, in:
Berchert, Heinz; Gombrich, Richard (Hrsg.):
»Der Buddhismus. Geschichte und Gegenwart«,
München 2000, S. 320

Der Fünfte Dalai Lama:
Beurteilungen seiner Herrschaft II

?Viele Tibeter gedenken insbesondere des V. Dalai Lama bis heute mit tiefer Ehrfurcht, die nicht allein religi?s, sondern mehr noch patriotisch begründet ist: Durch gro?es diplomatisches Geschick, allerdings auch durch nicht immer skrupul?sen Einsatz machtpolitischer und selbst milit?rischer Mittel gelang es Ngawang Lobzang Gyatso, dem ?Gro?en Fünften?, Tibet nach Jahrhunderten des Niedergangs wieder zu einen und in den Rang einer bedeutenden Regionalmacht zurückzuführen. Als erster Dalai Lama wurde er auch zum weltlichen Herrscher Tibets proklamiert. Unter seiner ?gide errang der Gelugpa-Orden endgültig die Vorherrschaft über die rivalisierenden lamaistischen Schulen, die teilweise durch blutigen Bürgerkrieg und inquisitorische Verfolgung unterworfen oder au?er Landes getrieben wurden.

Jedoch kehrte der Dalai Lama in seiner zweiten Lebenshälfte, nach Festigung seiner Macht und des tibetischen Staates, zu einer Politik der Mäßigung und Toleranz zurück, die seinem Charakter eher entsprach als die drastischen Maßnahmen, durch die er zur Herrschaft gelangte. Denn Ngawang Lobzang Gyatso war nicht nur ein Machtpolitiker und überragender Staatsmann, sondern ebenso ein spiritueller Meister mit ausgeprägter Neigung zu tantrischer Magie und lebhaftem Interesse auch an den Lehren andere lamaistischer Orden. Zeitlebens empfing er, wie die meisten seiner Vorgänger, gebieterische Gesichte, die er gegen Ende seines Lebens in seinen ›Geheimen Visionen‹ niederlegte.«

(Golzio, Bandini 1997: 95)

Der Dreizehnte Dalai Lama,
Thubten Gyatso

Der Dreizehnte Dalai Lama, Thubten Gyatso

?Ein anderer, besonders wichtiger Dalai Lama war der Dreizehnte (1876-1933). Als starker Herrscher versuchte er, im Allgemeinen ohne Erfolg, Tibet zu modernisieren. ?Der gro?e Dreizehnte? nutzte den Vorteil des schwindenden Einflusses China im 1911 beginnenden Kollaps dessen Monarchie, um faktisch der vollst?ndigen nationalen Unabh?ngigkeit Tibets von China Geltung zu verschaffen. Ein Fakt, den die Tibeter von jeher als Tatsache erachtet haben.?

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
(Clarke, 2006, S. 137)

?Manche m?gen sich vielleicht fragen, wie die Herrschaft des Dalai Lama im Vergleich mit europ?ischen oder amerikanischen Regierungschefs einzusch?tzen ist. Doch ein solcher Vergleich w?re nicht gerecht, es sei denn, man geht mehrere hundert Jahre in der europ?ischen Geschichte zurück, als Europa sich in demselben Zustand feudaler Herrschaft befand, wie es in Tibet heutzutage der Fall ist. Ganz sicher w?ren die Tibeter nicht glücklich, wenn sie auf dieselbe Art regiert würden wie die Menschen in England; und man kann wahrscheinlich zu Recht behaupten, dass sie im Gro?en und Ganzen glücklicher sind als die V?lker Europas oder Amerikas unter ihren Regierungen. Mit der Zeit werden gro?e Ver?nderungen kommen; aber wenn sie nicht langsam vonstatten gehen und die Menschen nicht bereit sind, sich anzupassen, dann werden sie gro?e Unzufriedenheit verursachen. Unterdessen l?uft die allgemeine Verwaltung Tibets in geordneteren Bahnen als die Verwaltung Chinas; der tibetische Lebensstandard ist h?her als der chinesische oder indische; und der Status der Frauen ist in Tibet besser als in beiden genannten L?ndern.?

Sir Charles Bell, »Der Große Dreizehnte:
Das unbekannte Leben des XIII. Dalai Lama von Tibet«,
Bastei Lübbe, 2005, S. 546

Der Dreizehnte Dalai Lama:
Beurteilungen seiner Herrschaft

?War der Dalai Lama im Gro?en und Ganzen ein guter Herrscher? Dies k?nnen wir mit Sicherheit bejahen, auf der geistlichen ebenso wie auf der weltlichen Seite. Was erstere betrifft, so hatte er die komplizierte Struktur des tibetischen Buddhismus schon als kleiner Junge mit ungeheurem Eifer studiert und eine au?ergew?hnliche Gelehrsamkeit erreicht. Er verlangte eine strengere Befolgung der m?nchischen Regeln, veranlasste die M?nche, ihren Studien weiter nachzugehen, bek?mpfte die Gier, Faulheit und Korruption unter ihnen und verminderte ihren Einfluss auf die Politik. So weit wie m?glich kümmerte er sich um die zahllosen religi?sen Bauwerke. In summa ist ganz sicher festzuhalten, dass er die Spiritualit?t des tibetischen Buddhismus vergr??ert hat.

Auf der weltlichen Seite stärkte er Recht und Gesetz, trat in engere Verbindung mit dem Volk, führte humanere Grundsätze in Verwaltung und Justiz ein und, wie oben bereits gesagt, verringerte die klösterliche Vorherrschaft in weltlichen Angelegenheiten. In der Hoffnung, damit einer chinesischen Invasion vorbeugen zu können, baute er gegen den Widerstand der Klöster eine Armee auf; vor seiner Herrschaft gab es praktisch keine Armee. In Anbetracht der sehr angespannten tibetischen Staatsfinanzen, des intensiven Widerstands der Klöster und anderer Schwierigkeiten hätte er kaum weiter gehen können, als er es tat.

Im Verlauf seiner Regierung beendete der Dalai Lama die chinesische Vorherrschaft in dem großen Teil Tibets, den er beherrschte, indem er chinesische Soldaten und Beamte daraus verbannte. Dieser Teil Tibets wurde zu einem vollkommen unabhängigen Königreich und blieb dies auch während der letzten 20 Jahre seines Lebens.«

Sir Charles Bell in (Bell 2005: 546-47)

Der Vierzehnte Dalai Lama,
Tenzin Gyatso

Der Vierzehnte Dalai Lama, Tenzin Gyatso

?Der jetzige vierzehnte Dalai Lama (Tenzin Gyatso) wurde 1935 geboren. Die Chinesen besetzten Tibet in den frühen 1950er Jahren, der Dalai Lama verlie? Tibet 1959. Er lebt jetzt als Flüchtling in Dharamsala, Nordindien, wo er der Tibetischen Regierung im Exil vorsteht. Als gelehrte und charismatische Pers?nlichkeit, hat er aktiv die Unabh?ngigkeit seines Landes von China vertreten. Durch seine h?ufigen Reisen, Belehrungen und Bücher macht er den Buddhismus bekannt, engagiert sich für den Weltfrieden sowie für die Erforschung von Buddhismus und Wissenschaft. Als Anwalt einer ?universellen Verantwortung und eines guten Herzens?, erhielt er den Nobelpreis im Jahre 1989.?

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
(Clarke, 2006, S. 137)

Moralische Legitimation
der Herrschaft Geistlicher

Für Sobisch ist die moralische Legitimation der Herrschaft Geistlicher ?außerordentlich zweifelhaft?. Er konstatiert:

?Es zeigte sich auch in Tibet, da? moralische Integrit?t nicht automatisch mit der Zugeh?rigkeit zu einer Gruppe von Menschen erlangt wird, sondern allein auf pers?nlichen Entscheidungen basiert. Vielleicht sind es ?hnliche überlegungen gewesen, die den derzeitigen, vierzehnten Dalai Lama dazu bewogen haben, mehrmals unmi?verst?ndlich zu erkl?ren, da? er bei einer Rückkehr in ein freies Tibet kein politische Amt mehr übernehmen werde. Dies ist, so meine ich, keine schlechte Nachricht. Denn dieser Dalai Lama hat bewiesen, da? man auch ohne ein international anerkanntes politisches Amt inne zu haben durch ein glaubhaft an ethischen Grunds?tzen ausgerichtetes beharrliches Wirken einen enormen Einfluss in der Welt ausüben kann.?

Jan-Ulrich Sobisch,
Lamakratie - Das Scheitern einer Regierungsform (PDF), S. 190,
Universität Hamburg