Die Wahrheit des tibetischen Buddhismus

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Sexuelle Skandale der Lamas und Rinpoches

über die Dalai Lamas

Bevor der Buddhismus in Tibet eingeführt wurde, hatten die Tibetaner "Bön" als Volksglauben gehabt. Bön verehrt Geister, Gespenster und Götter, um ihren Segen zu erhalten. Bön gehört also zu lokalen Volksglauben.

Während der chinesischen Tang Dynastie, führte der tibetische König Songtsän Gampo den Buddhismus in Tibet ein und machte ihn zur Staatsreligion. Der sogenannte "Buddhismus" ist aber tantrischer Buddhismus, der sich in der Spätzeit des indischen Buddhismus ausbreitet. Der tantrische Buddhismus wird auch "linkshändigen Pfad" genannt, weil er die tantrische sexuelle Praxis macht. Um zur tibetischen Kultur zu passen, wird der tantrische Buddhismus mit "Bön" gemischt. Er wird dann noch exzessiver wegen dessen Glaubens an Geister und Gespenster.

Der tantrische Meister Atiśa lehrte die tantrische Sex heimlich. Padmasambhava lehrte sie dann aber offen. Der tibetische Buddhismus weichte nicht nur von buddhistischen Lehren ab, sondern auch von buddhistischer Form. Der tibetische Buddhismus gehört nicht zum Buddhismus und muss "Lamaismus" genannt.

   
                  NON JE NE SAVAIS PAS QUE JE DEVAIS ENFANTER UN BOUDDHA (Le bouddhisme tibétain est une secte)
 
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LA LOGIQUE DE CE HIERARQUE TIBETAIN ETAIT LA SUIVANTE : LE CORPS DE L AUTRE M'APPARTIENT ET JE LE PUNIS SI JE N'EN OBTIENS PAS CE QUE JE VEUX, EN RAISON DE  MON DROIT DIVIN ET RELIGIEUX

A l'âge de seize ans j'ai fait un stage (danse et cirque) de trois semaines à la chartreuse de Villeneuve-Lès-Avignon, dans le cadre du CIRCA. Des bouddhistes y demeuraient. Pour mon plus grand malheur, le 16° karm m'a vue sur une scène et il s'est ensuite précipité vers moi en disant que j'étais mort, dans une autre vie, en lui demandant de l'aide, un homme s'est interposé « tout karmy que tu es, tu n'as pas tous les droits » puis Karmy est venu me voir une autre fois, en me disant que j'avais été son compagnon, qu'il était désolé que je ne le reconnaisse pas. J'ai refusé de devenir bouddhiste et il a dit que je rendrais un grand service aux bouddhistes. Il m'a présenté Shamy en me disant qu'il était le gardien de la religion. Ces rencontres malencontreuses ont fichu en l'air toute ma vie de jeune fille et de femme.
 
Entre temps, ils avaient écrit à mes parents pour les prévenir de la haute destinée qui m’attendait et qui devait changer le monde. Ceux-ci très suspicieux envers ce groupe d’illuminés ne donnèrent pas suite à leur courrier qui est allé directement à la poubelle.

Plus tard, en 1980-81, alors que j'étais à Aix, où j'avais souhaité m'inscrire en fac de sociologie, ils m'ont retrouvé « quelle chance de t'avoir retrouvée » ont-ils dit. Pour moi, ça a été le début de mon malheur.
Il faut dire qu’il n’était pas difficile de les rencontrer à cette époque, ils étaient toute la journée dans la rue, assis à discuter avec les passants ou leurs amis. Le bouddhisme était alors en pleine expansion, une mode qui ne s’est pas démentie depuis les années 70. Lors de cette rencontre, c’est même une personnalité du show business qui m’a présenté au groupe réuni dans la rue et particulièrement à son dirigeant Shamy , disciple du 16ème  Karmy décédé, qui s’est souvenu de la révélation de son maître concernant le grand service.
Quelques temps après je me suis retrouvé enceinte, des œuvres d'un sympathisant de ce groupe bouddhistes.

Le groupe a été rapidement mis au courant de telle sorte que peu après lorsque je les ai croisés dans la rue, ils m’ont questionné sur mon état, l’avancement de ma grossesse, si j’avais des maladies, si j’allais allaiter…. A l’époque, j’ai surpris quelques conversations qu’ils avaient entre eux me concernant, mais dont je ne comprenais pas très bien l’intérêt, du style « Il faut la mettre au courant pour la cérémonie qui va bientôt avoir lieu ». Rapidement, ils m’ont envoyé un adepte, Marcello, pour « veiller sur moi ». Je lui ai dit que je n’avais rien à voir avec les bouddhistes, que je ne les connaissais pas, lui m’a répondu « Mais, eux te connaissent ». Paroles biens absconses pour moi à l’époque. Et pendant 2 semaines, il est venu me voir régulièrement, ce que je ne refusais pas car il était sympathique et j’étais seule
Mais en fait, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. De toute façon j'avais une histoire de vie qui me faisait craindre d'enfanter. Celui qui m'avait mise enceinte, était parti le matin même. Il se moquait bien de moi, j'étais seule, ne sachant comment affronter cette épreuve supplémentaire, non désirée. Je dois avouer que j’étais déstabilisée à cette époque, j’étais isolée à Aix, ma famille résidant dans le Var, j’étais enceinte et je portais cela toute seule à 20 ans. Je me demandais ce qui m'arrivait, je ne comprenais pas que j'avais été piégée. Je n'avais pas de situation, ni de compagnon qui m'aurait permis d'élever correctement cet enfant. J'ai donc avorté ainsi que m'y autorisait la loi.

Là mon protecteur bouddhiste Marcello n’a pas été content du tout. Lorsqu’ensuite j’ai rencontré les adeptes de Shamy dans la rue à Aix, ils se sont rués sur moi pour me sermonner, m’invectiver et même l’un d’entre eux juste un peu plus loin, m’a molestée et a failli m’étrangler. En avortant, j’avais selon eux commis une faute impardonnable qui nuisait gravement au bouddhisme.
Ils sont devenus très agressifs, me disant qu'ils faisaient des cérémonies occultes pour me condamner au malheur, que j'allais être punie car leur plan avait échoué à cause de moi. Ils ont parlé, entre eux, de l’âme du Grand 16èmeKarmy qui devait venir habiter le fœtus.
« C'est un être qui avait des qualités dix fois supérieures à la normale qui voulait naître de toi, parce que tu es douce et gentille » « notre plan a échoué mais toi tu vas être punie » m’ont-ils dit. Il m'a fallu trente ans pour comprendre quel était le service que je devais rendre aux bouddhistes de cette lignée. Mais je ne comprends toujours pas pourquoi ils n'ont jamais pensé à informer le ventre que j'étais de ce qu'ils attendaient de moi.
Il y avait deux raisons à leur souhait de la naissance du karmeny  en France. 
1/ Avec la renaissance en France du karmy , il aurait eu la nationalité française et n'aurait plus été dans l'obligation de demander des visas. En y repensant, je crois qu’il était certainement plus efficace, plus lucratif pour eux d’avoir leur « Pape » (Karmy) en France parce qu’en Inde, le Karmy n’y est pas respecté et protégé comme il pourrait l’être dans notre pays. Et aussi cela lui aurait fait gagner dix ans d'évolution, pour propager sa religion
2/une nouvelle branche de leur lignée venait d’apparaître et elle était plus évoluée, responsable, composée d'intellectuels, Shamy les critiquait en disant qu'ils ne respectaient pas la religion “
Shamy leur maître les avait vraiment ligués contre moi, en invoquant des croyances bouddhistes extrémistes. Il était question maintenant, et ils ne se gênaient pas pour le dire en ma présence, que mon acte sacrilège appelait de leur part une cérémonie de malédiction à mon encontre. Je devais être maudite à jamais et ne plus avoir de vie amoureuse avec qui que ce soit. Et ne pas enfanter pour rester la mère spirituelle du 17° karmy Toujours d'après eux.

Toujours est-il que même après le départ de leur maître les adeptes aixois dirigés par une certaine SANDRINE , étaient très remontés contre moi. Shamy avait su exacerber leurs croyances superstitieuses contre moi : j’étais une sorte de sacrilège ambulant, une sorte de déicide, que l’on pourrait mettre en parallèle dans le monde chrétien avec une Vierge Marie qui aurait attenté à la vie du Messie en gestation. Et effectivement, c’est ce qu’ils ont fait par la suite, ils m’ont traitée comme un animal, une ordure, la lie de l’humanité.

Il faut dire, qu’ils n’ont pas eu de mal à me prendre en main, car j’étais à ce moment là extrêmement affaiblie, physiquement et moralement, après les bouleversements hormonaux encore présents dans mon corps suite à ma grossesse, cet avortement ensuite, assumé seule et mon isolement.

Je ne me souviens plus à l’époque (cela fait 32 ans) comment les choses se sont passées exactement, toujours est-il qu'ils m’ont convaincue de les suivre pour participer à une cérémonie, suivies d'autres séances, où l'on m'offrait toujours un petit thé. JMC disait « tu vois c'est moi qui te prépare ton thé » en fait, je les soupçonne très fortement d’avoir commencé à me droguer systématiquement,compte tenu de mon comportement irrationnel à cette époque.

La première fois, arrivée en haut des escaliers qui menaientà leur appartement, j’ai soudain ressenti une vive douleur à la tête, je me suis effondrée dans un état semi-conscient. Ce dont je me souviens dans le brouillard ou l’état second dans lequel j’étais à ce moment là, ce sont les conversations, notamment celle d’une professionnelle de santé apparemment qui disait avoir manipulé ma 5ème vertèbre pour bloquer mon énergie sexuelle afin que je n’enfante plus. Je me souviens encore de ses propos qui me laissent penser qu’elle était du milieu médical : « Mon Dieu ! Si l’ont apprend que je fais cela, je n’aurai plus le droit d’exercer » Pendant ce rituel, j’ai senti que l’on m’introduisait quelque chose, un objet dans mon sexe et lorsque je me suis révélée complètement, j’étais nue et mon corps portait de nombreuses marques de griffures.

Ce sont 2 adeptes qui m’ont soutenues pour me ramener chez moi et qui je m’en souviens comme si c’était hier, râlaient d’avoir été assignées à cette corvée parce que « si on nous voit avec elle, on va nous reconnaître et c’est nous qui aurons la police sur le dos »

A cette époque j'avais toujours très mal à la tête, j'oubliais que je suivais des cours je ne retrouvais pas le chemin de mon domicile. J'étais anéantie mentalement, j’avais perdu tout discernement, j’étais devenue un zombi. Les parents de quelques camarades de faculté ont alors alertés mon père et ma mère de ce que j’avais été « envoûtée » par des bouddhistes. Ils m’ont donc récupéré dans le Var quelque temps pour me remettre sur pieds, mais j’étais cassée en dedans. Finalement je suis retournée chez moi à Aix, toujours dans cet état plus ou moins végétatif, du moins au point de vue de ma volonté et de mon discernement.
Malheureusement, un disciple, JMC n'en avait pas fini avec moi, il m'a fait boire dans la rue un jus d'orange très probablement drogué, puisque je l’ai suivi lorsqu’il m’a invité à le faire. Il a abusé de moi avec deux de ses copains dont un certain Patrick. Puis un groupe de mecs est arrivé et ils ont dit « elle doit payer ». Payer quoi? D'avoir avorté et le fait que Shamy, ce tyran moyenâgeux n'ait pas pu utiliser ma fécondation? Pierre (JMC) m'a livrée à eux. Ils m'ont à nouveau déshabillée puis frappée. C'est si facile quand on a une victime inconsciente, fragile et faible. L'humoriste disait « elle est jolie notre trou à bites notre bouche à pipes » par la suite il est devenu une petite star du show business, un « comique » pour la scène, mais pas dans sa vie privée en tous cas. Quand on voit comment certains hommes traitent les femmes on se demande comment les autres femmes arrivent encore à mettre des bébés au monde. Ensuite un groupe de monstres est arrivé. J'ai compris que c'était encore pour moi. Quelques jours plus tard j’ai dit à une copine « heureusement qu'ils ne m'ont pas blessée ». Le collectif produit le pire parce qu'il donne un sentiment d'impunité. Surtout quand il est validé par des motifs pseudo religieux, expiatoires, etc.

La police est intervenue, mes amies ont donné l'alerte. J'étais tellement droguée, que j'ai perdu la mémoire, et mes capacités intellectuelles, j’étais hébétée. Je ne comprenais plus rien. Je ne pouvais plus me déplacer seule.

Mais je me souviens de la reconstitution devant la porte du 15 place Saint Honoré à Aix., devant la maison de monsieur A. Ma mère leur criant « vous lui avez demandé son accord à ma fille pour la mettre enceinte, vous lui avez demandé son accord, pour avoir des relations sexuelles avec elle? Je suis plus fière d'être la mère d'une gentille fille, même violée que si j'étais votre mère j'aurais trop honte d'être la mère de violeurs » (le dossier que ma mère est allé chercher au commissariat, quelques temps après, avait curieusement disparu)
Mes parents n'ont pas porté plainte car j'étais inconsciente et je le suis restée pendant trente ans jusqu'au décès de ma maman. Je savais que quelque chose de terrible s'était passé, mais je crois qu'elle préférait me croire inconsciente, car, elle avait trop mal, maman. Je crois en fait que nous avons occulté mutuellement cette affaire, de peur de nous faire plus de mal encore.
C'est pour elle, pour moi que je témoigne, plus jamais ça! Notre corps nous appartient et les hommes n'ont aucun droit sur notre corps. Pas le droit de décider de nous faire faire un enfant, comme l'avait décidé karmy et shamy, parce que ça leur chante, pas le droit de nous violer quand ça leur chante. Ont ils pensé tous ces violeurs qu'ils sont nés d'un ventre de femme ? En me violant c'est leur propre mère qu'ils ont meurtrie.

Mais parce qu'il n'y a pas eu de plainte, de poursuites et de sanctions, ils se sont crus protégés et ils ont continué à me harceler. Dès que j'avais un petit ami, ils s'empressaient de lui dire qu'ils avaient été obligés de me punir, en raison de ma culpabilité. Les gens se détournaient de moi, car ils les croyaient! Ils me démolissaient aussi, professionnellement dès qu'ils le pouvaient (Aix est une petite ville où tout le monde se connaît)

Je les ai retrouvés dans trois centres pour enfants. Une de mes animatrices était la propre sœur de mon violeur. Et dans un club réputé, ils ont arrivés à plusieurs pour faire une cérémonie destinée à me faire du mal. C'est là qu'une fille m'a tout de même posé la question « est-ce que tu savais que l’on attendait un enfant de toi? »
J’ai répondu «  mais vous ne pouvez pas faire vos propres enfants vous mêmes? »
Ils, les adeptes de cette secte prétendue bouddhiste, enfin lamaïste, ont enfin compris au bout de quatorze ans que je n'y étais pour rien dans l'échec de leur projet et que je ne leur avais jamais menti que je ne les avais jamais trompé, puisque j'ignorais tout. Ils ont enfin compris que j'étais innocente de ma prétendue culpabilité. Mais ils m’ont tout de même persécutée et diffamée pendant trente ans, en profitant de mon état d’ignorance. Les violeurs surtout cherchaient à faire croire que j’étais coupable en d’autre façons.

En y repensant je crois qu'ils ont eux aussi été victimes de Shamy qui les a totalement manipulés, et véritablement trompés.
Je suis effarée lorsque je constate que des intégristes comme Shamy, l’initiateur spirituel de la meute de fanatiques à l’origine de mon malheur, se retrouvent parmi les notables du bouddhisme dans notre pays et que mes contemporains gobent tout cela sans aucune conscience des risques qu’ils courent. Mais les hommes, religieux compris, sont tous les mêmes partout. S’ils ne sont pas régulés par des lois (laïques), par l’opinion publique, leur naturel autoritaire, profiteur, mégalo, hédoniste, reprend vite le dessus, et il est sans limite lorsqu’il s’appuie sur l’irrationnel.

Une sociologue a dit « lorsque c'est incroyable, c'est que c'est une secte »

le bouddhisme tibétain ne m'a apporté que du malheur. Mais la corruption de nos « élites » me donne à penser que nous ne nous en sortirons pas. Nous n’évoluerons jamais

CE QUE JE NE PEUX PLUS SUPPORTERC EST QUE CERTAINS DISCIPLES DE LAMAS ET DES SATANISTES SE SOIENT TOUJOURS REPANDUS EN DISANT QUE J ETAIS FAUTIVE OR J AI ETE  PIEGEE DE MANIERE SORDIDE ETPIEGEE PAR UN HIERARQUE LAMA PARCE QUE JE NE DEVAIS PAS ETRE AU COURANT DE LEUR PROJET DE ME FAIRE ENFANTER LEUR BOUDDHA DES FOIS QUE JE NE SERAIS PAS D' ACCORDDONC NE CONNAISSANT PAS LEUR PROJET J'ETAIS INNOCENTE
MAIS ILS ONT VU LES CHOSES AUTREMENT

Die Dalai Lamas

»Die Dalai Lamas werden von ihren Anhängern als fortgeschrittene Mahayana Bodhisattvas angesehen, mitfühlende Wesen, die sozusagen ihren eigenen Eintritt in das Nirvana zurückgestellt haben, um der leidenden Menschheit zu helfen. Sie sind demnach auf einem guten Wege zur Buddhaschaft, sie entwickeln Perfektion in ihrer Weisheit und ihrem Mitgefühl zum Wohle aller Wesen. Dies rechtertigt, in Form einer Doktrin, die soziopolitische Mitwirkung der Dalai Lamas, als Ausdruck des mitfühlenden Wunsches eines Bodhisattvas, anderen zu helfen.«

?Hier sollten wir zwei Dinge feststellen, die der Dalai Lama nicht ist: Erstens, er ist nicht in einem einfachen Sinne ein ?Gott-König?. Er mag eine Art König sein, aber er ist kein Gott für den Buddhismus. Zweitens, ist der Dalai Lama nicht das ?Oberhaupt des Tibetischen Buddhismus? als Ganzes. Es gibt zahlreiche Traditionen im Buddhismus. Manche haben ein Oberhaupt benannt, andere nicht. Auch innerhalb Tibets gibt es mehrere Traditionen. Das Oberhaupt der Geluk Tradition ist der Abt des Ganden Klosters, als Nachfolger von Tsong kha pa, dem Begründer der Geluk Tradition im vierzehnten/fünfzehnten Jahrhundert.«

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
Clarke, P. B., Encyclopedia of New Religious Movements
(New York: Routledge, 2006), S. 136.

Regierungsverantwortung
der Dalai Lamas

?Nur wenige der 14 Dalai Lamas regierten Tibet und wenn, dann meist nur für einige wenige Jahre.?

(Brauen 2005:6)

»In der Realität dürften insgesamt kaum mehr als fünfundvierzig Jahre der uneingeschränkten Regierungsgewalt der Dalai Lamas zusammenkommen. Die Dalai Lamas sechs und neun bis zwölf regierten gar nicht, die letzten vier, weil keiner von ihnen das regierungsfähige Alter erreichte. Der siebte Dalai Lama regierte uneingeschränkt nur drei Jahre und der achte überhaupt nur widerwillig und auch das phasenweise nicht allein. Lediglich der fünfte und der dreizehnte Dalai Lama können eine nennenswerte Regieruagsbeteiligung oder Alleinregierung vorweisen. Zwischen 1750 und 1950 gab es nur achtunddreißig Jahre, in denen kein Regent regierte!«

Jan-Ulrich Sobisch,
Lamakratie - Das Scheitern einer Regierungsform (PDF), S. 182,
Universität Hamburg

Der Fünfte Dalai Lama,
Ngawang Lobsang Gyatso

Der Fünfte Dalai Lama, Ngawang Lobsang Gyatso

?Der fünfte Dalai Lama, der in der tibetischen Geschichte einfach ?Der Gro?e Fünfte? genannt wird, ist bekannt als der Führer, dem es 1642 gelang, Tibet nach einem grausamen Bürgerkrieg zu vereinigen. Die ?ra des fünften Dalai Lama (in etwa von seiner Einsetzung als Herrscher von Tibet bis zum Beginn des 18. Jahrhunderts, als seiner Regierung die Kontrolle über das Land zu entgleiten begann) gilt als pr?gender Zeitabschnitt bei der Herausbildung einer nationalen tibetischen Identit?t - eine Identit?t, die sich im Wesentlichen auf den Dalai Lama, den Potala-Palast der Dalai Lamas und die heiligen Tempel von Lhasa stützt. In dieser Zeit wandelte sich der Dalai Lama von einer Reinkarnation unter vielen, wie sie mit den verschiedenen buddhistischen Schulen assoziiert waren, zum wichtigsten Beschützer seines Landes. So bemerkte 1646 ein Schriftsteller, dass dank der guten Werke des fünften Dalai Lama ganz Tibet jetzt ?unter dem wohlwollenden Schutz eines wei?en Sonnenschirms zentriert? sei; und 1698 konstatierte ein anderer Schriftsteller, die Regierung des Dalai Lama diene dem Wohl Tibets ganz so wie ein Bodhisattva - der heilige Held des Mahayana Buddhismus - dem Wohl der gesamten Menschheit diene.?

Kurtis R. Schaeffer, »Der Fünfte Dalai Lama Ngawang Lobsang Gyatso«, in
DIE DALAI LAMAS: Tibets Reinkarnation des Bodhisattva Avalokite?vara,
ARNOLDSCHE Art Publishers,
Martin Brauen (Hrsg.), 2005, S. 65

Der Fünfte Dalai Lama:
Beurteilungen seiner Herrschaft I

?Gem?? der meisten Quellen war der [5.] Dalai Lama nach den Ma?st?ben seiner Zeit ein recht toleranter und gütiger Herrscher.?

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
(Clarke, 2006, S. 136)

?Rückblickend erscheint Lobsang Gyatso, der ?Gro?e Fünfte?, dem Betrachter als überragende, allerdings auch als widersprüchliche Gestalt.?

Karl-Heinz Golzio / Pietro Bandini,
»Die vierzehn Wiedergeburten des Dalai Lama«,
O.W. Barth Verlag, 1997, S. 118

»Einmal an der Macht, zeigte er den anderen Schulen gegenüber beträchtliche Großzügigkeit. […] Ngawang Lobsang Gyatso wird von den Tibetern der ›Große Fünfte‹ genannt, und ohne jeden Zweifel war er ein ungewöhnlich kluger, willensstarker und doch gleichzeitig großmütiger Herrscher.«

Per Kvaerne, »Aufstieg und Untergang einer klösterlichen Tradition«, in:
Berchert, Heinz; Gombrich, Richard (Hrsg.):
»Der Buddhismus. Geschichte und Gegenwart«,
München 2000, S. 320

Der Fünfte Dalai Lama:
Beurteilungen seiner Herrschaft II

?Viele Tibeter gedenken insbesondere des V. Dalai Lama bis heute mit tiefer Ehrfurcht, die nicht allein religi?s, sondern mehr noch patriotisch begründet ist: Durch gro?es diplomatisches Geschick, allerdings auch durch nicht immer skrupul?sen Einsatz machtpolitischer und selbst milit?rischer Mittel gelang es Ngawang Lobzang Gyatso, dem ?Gro?en Fünften?, Tibet nach Jahrhunderten des Niedergangs wieder zu einen und in den Rang einer bedeutenden Regionalmacht zurückzuführen. Als erster Dalai Lama wurde er auch zum weltlichen Herrscher Tibets proklamiert. Unter seiner ?gide errang der Gelugpa-Orden endgültig die Vorherrschaft über die rivalisierenden lamaistischen Schulen, die teilweise durch blutigen Bürgerkrieg und inquisitorische Verfolgung unterworfen oder au?er Landes getrieben wurden.

Jedoch kehrte der Dalai Lama in seiner zweiten Lebenshälfte, nach Festigung seiner Macht und des tibetischen Staates, zu einer Politik der Mäßigung und Toleranz zurück, die seinem Charakter eher entsprach als die drastischen Maßnahmen, durch die er zur Herrschaft gelangte. Denn Ngawang Lobzang Gyatso war nicht nur ein Machtpolitiker und überragender Staatsmann, sondern ebenso ein spiritueller Meister mit ausgeprägter Neigung zu tantrischer Magie und lebhaftem Interesse auch an den Lehren anderer lamaistischer Orden. Zeitlebens empfing er, wie die meisten seiner Vorgänger, gebieterische Gesichte, die er gegen Ende seines Lebens in seinen ›Geheimen Visionen‹ niederlegte.«

(Golzio, Bandini 1997: 95)

Der Dreizehnte Dalai Lama,
Thubten Gyatso

Der Dreizehnte Dalai Lama, Thubten Gyatso

?Ein anderer, besonders wichtiger Dalai Lama war der Dreizehnte (1876-1933). Als starker Herrscher versuchte er, im Allgemeinen ohne Erfolg, Tibet zu modernisieren. ?Der gro?e Dreizehnte? nutzte den Vorteil des schwindenden Einflusses China im 1911 beginnenden Kollaps dessen Monarchie, um faktisch der vollst?ndigen nationalen Unabh?ngigkeit Tibets von China Geltung zu verschaffen. Ein Fakt, den die Tibeter von jeher als Tatsache erachtet haben.?

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
(Clarke, 2006, S. 137)

?Manche m?gen sich vielleicht fragen, wie die Herrschaft des Dalai Lama im Vergleich mit europ?ischen oder amerikanischen Regierungschefs einzusch?tzen ist. Doch ein solcher Vergleich w?re nicht gerecht, es sei denn, man geht mehrere hundert Jahre in der europ?ischen Geschichte zurück, als Europa sich in demselben Zustand feudaler Herrschaft befand, wie es in Tibet heutzutage der Fall ist. Ganz sicher w?ren die Tibeter nicht glücklich, wenn sie auf dieselbe Art regiert würden wie die Menschen in England; und man kann wahrscheinlich zu Recht behaupten, dass sie im Gro?en und Ganzen glücklicher sind als die V?lker Europas oder Amerikas unter ihren Regierungen. Mit der Zeit werden gro?e Ver?nderungen kommen; aber wenn sie nicht langsam vonstatten gehen und die Menschen nicht bereit sind, sich anzupassen, dann werden sie gro?e Unzufriedenheit verursachen. Unterdessen l?uft die allgemeine Verwaltung Tibets in geordneteren Bahnen als die Verwaltung Chinas; der tibetische Lebensstandard ist h?her als der chinesische oder indische; und der Status der Frauen ist in Tibet besser als in beiden genannten L?ndern.?

Sir Charles Bell, »Der Große Dreizehnte:
Das unbekannte Leben des XIII. Dalai Lama von Tibet«,
Bastei Lübbe, 2005, S. 546

Der Dreizehnte Dalai Lama:
Beurteilungen seiner Herrschaft

?War der Dalai Lama im Gro?en und Ganzen ein guter Herrscher? Dies k?nnen wir mit Sicherheit bejahen, auf der geistlichen ebenso wie auf der weltlichen Seite. Was erstere betrifft, so hatte er die komplizierte Struktur des tibetischen Buddhismus schon als kleiner Junge mit ungeheurem Eifer studiert und eine au?ergew?hnliche Gelehrsamkeit erreicht. Er verlangte eine strengere Befolgung der m?nchischen Regeln, veranlasste die M?nche, ihren Studien weiter nachzugehen, bek?mpfte die Gier, Faulheit und Korruption unter ihnen und verminderte ihren Einfluss auf die Politik. So weit wie m?glich kümmerte er sich um die zahllosen religi?sen Bauwerke. In summa ist ganz sicher festzuhalten, dass er die Spiritualit?t des tibetischen Buddhismus vergr??ert hat.

Auf der weltlichen Seite stärkte er Recht und Gesetz, trat in engere Verbindung mit dem Volk, führte humanere Grundsätze in Verwaltung und Justiz ein und, wie oben bereits gesagt, verringerte die klösterliche Vorherrschaft in weltlichen Angelegenheiten. In der Hoffnung, damit einer chinesischen Invasion vorbeugen zu können, baute er gegen den Widerstand der Klöster eine Armee auf; vor seiner Herrschaft gab es praktisch keine Armee. In Anbetracht der sehr angespannten tibetischen Staatsfinanzen, des intensiven Widerstands der Klöster und anderer Schwierigkeiten hätte er kaum weiter gehen können, als er es tat.

Im Verlauf seiner Regierung beendete der Dalai Lama die chinesische Vorherrschaft in dem großen Teil Tibets, den er beherrschte, indem er chinesische Soldaten und Beamte daraus verbannte. Dieser Teil Tibets wurde zu einem vollkommen unabhängigen Königreich und blieb dies auch während der letzten 20 Jahre seines Lebens.«

Sir Charles Bell in (Bell 2005: 546-47)

Der Vierzehnte Dalai Lama,
Tenzin Gyatso

Der Vierzehnte Dalai Lama, Tenzin Gyatso

?Der jetzige vierzehnte Dalai Lama (Tenzin Gyatso) wurde 1935 geboren. Die Chinesen besetzten Tibet in den frühen 1950er Jahren, der Dalai Lama verlie? Tibet 1959. Er lebt jetzt als Flüchtling in Dharamsala, Nordindien, wo er der Tibetischen Regierung im Exil vorsteht. Als gelehrte und charismatische Pers?nlichkeit, hat er aktiv die Unabh?ngigkeit seines Landes von China vertreten. Durch seine h?ufigen Reisen, Belehrungen und Bücher macht er den Buddhismus bekannt, engagiert sich für den Weltfrieden sowie für die Erforschung von Buddhismus und Wissenschaft. Als Anwalt einer ?universellen Verantwortung und eines guten Herzens?, erhielt er den Nobelpreis im Jahre 1989.?

Paul Williams, »Dalai Lama«, in
(Clarke, 2006, S. 137)

Moralische Legitimation
der Herrschaft Geistlicher

Für Sobisch ist die moralische Legitimation der Herrschaft Geistlicher ?außerordentlich zweifelhaft?. Er konstatiert:

?Es zeigte sich auch in Tibet, da? moralische Integrit?t nicht automatisch mit der Zugeh?rigkeit zu einer Gruppe von Menschen erlangt wird, sondern allein auf pers?nlichen Entscheidungen basiert. Vielleicht sind es ?hnliche überlegungen gewesen, die den derzeitigen, vierzehnten Dalai Lama dazu bewogen haben, mehrmals unmi?verst?ndlich zu erkl?ren, da? er bei einer Rückkehr in ein freies Tibet kein politische Amt mehr übernehmen werde. Dies ist, so meine ich, keine schlechte Nachricht. Denn dieser Dalai Lama hat bewiesen, da? man auch ohne ein international anerkanntes politisches Amt inne zu haben durch ein glaubhaft an ethischen Grunds?tzen ausgerichtetes beharrliches Wirken einen enormen Einfluss in der Welt ausüben kann.?

Jan-Ulrich Sobisch,
Lamakratie - Das Scheitern einer Regierungsform (PDF), S. 190,
Universität Hamburg